Les études
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Les études
Les études.
Elles sont difficiles ne nous mentons pas. Tellement de facettes … parfois ennuyeuses et interminables elles nous poussent à nous en détourner pour contempler un carré de ciel ouvert ou une boucle brune, démarrer une tatasse endiablée avec un voisin complice … voire même à tapoter sur notre dalle de pixels. Ils ne réussissent pas toujours à nous intéresser encore moins à nous passionner … pourtant ils essayent en braillant, gesticulant, martyrisant sans cesses ces pauvres crayons pourtant volontaires … on les aime bien les profs mais … ce fameux mais qui s’insinue dans nos pensées pour y faire éclore un ailleurs souvent plus désirable qu’un saut quantique, qu’une drosophile ou une récurrence … ce mais, tyran, que l’on retrouve chez soi au moment d’éventrer l’eastpak pour qu’il déverse sont flot de devoirs … on se laisse emporter en repoussant, certes juste un instant, et de bonne foi en plus, pour ne serait-ce que souffler, se regarder une série, dévorer le fameux volume 11 sorti hier en tête de gondole … et puis l’heure passe, la seconde aussi … une petite voix chuchote, elle est lointaine et vite étouffée par ce mais séduisant … un jour, puis deux, trois … les devoirs s’accumulent, l’urgence apparaît … et puis bientôt un fait nouveau, inattendu … des notes … faibles, décevantes … et personne d’autre à accuser que soi. Terrible … et pourtant on s’en accommode … on se découvre une faculté à l’inertie … à subir en oubliant qu’il y a peu on nourrissait des rêves fabuleux, des rêves de nos rêves … on se voyait voyager, sauver le monde, découvrir et se découvrir, fier, passionné.
Il est temps d’ouvrir les yeux, de réagir et de se retrouver.
Elles sont difficiles ne nous mentons pas. Tellement de facettes … parfois ennuyeuses et interminables elles nous poussent à nous en détourner pour contempler un carré de ciel ouvert ou une boucle brune, démarrer une tatasse endiablée avec un voisin complice … voire même à tapoter sur notre dalle de pixels. Ils ne réussissent pas toujours à nous intéresser encore moins à nous passionner … pourtant ils essayent en braillant, gesticulant, martyrisant sans cesses ces pauvres crayons pourtant volontaires … on les aime bien les profs mais … ce fameux mais qui s’insinue dans nos pensées pour y faire éclore un ailleurs souvent plus désirable qu’un saut quantique, qu’une drosophile ou une récurrence … ce mais, tyran, que l’on retrouve chez soi au moment d’éventrer l’eastpak pour qu’il déverse sont flot de devoirs … on se laisse emporter en repoussant, certes juste un instant, et de bonne foi en plus, pour ne serait-ce que souffler, se regarder une série, dévorer le fameux volume 11 sorti hier en tête de gondole … et puis l’heure passe, la seconde aussi … une petite voix chuchote, elle est lointaine et vite étouffée par ce mais séduisant … un jour, puis deux, trois … les devoirs s’accumulent, l’urgence apparaît … et puis bientôt un fait nouveau, inattendu … des notes … faibles, décevantes … et personne d’autre à accuser que soi. Terrible … et pourtant on s’en accommode … on se découvre une faculté à l’inertie … à subir en oubliant qu’il y a peu on nourrissait des rêves fabuleux, des rêves de nos rêves … on se voyait voyager, sauver le monde, découvrir et se découvrir, fier, passionné.
Il est temps d’ouvrir les yeux, de réagir et de se retrouver.
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